Lecture du tableau numéro 18

Lecture du tableau numéro 18

L’ARBRE DE LA LUMIÈRE
(DESSINE PAR ANTARA)
Dans ce tableau, Antara fait face à une épreuve qui dépasse le fondement esthétique du jeu, en rendant l’espace fluide, au profit du temps. Il passe avec habileté à une certaine zone qui transcende le conte et l’histoire, à travers la production d’un texte créatif instinctif et prémonitoire. L’œuvre est ainsi homogène et permet à l’artiste, l’art intelligent, le héros dessiné, l’œuvre, et le récepteur prémonitoire de se complémenter. Le talent du héros, ci-absent, ressort dans le dessin de Abla, modèle, à partir de la volonté d’une idée qui guide l’œuvre. Nous notons effectivement un texte solide, et la capture d’un angle du paradis de la beauté. Les beaux-arts, les fruits bas, Abla la Moderne malgré son historicité, et les souhaits de Shubbar sont réalisés par le biais de Antara Bin Chaddad qui joue le rôle du peintre dans ce tableau. Cet ajout est définitif pour libérer l’œuvre de toutes les caractéristiques de la documentation afin de créér un document original.

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