Art Work
Lecture du tableau numéro 33

L'ARBRE MEURTRI 2
Un assemblage curieux entre le temps, le lieu et l’emprunt de caractéristiques humaines. Les héros Abla et Antara sont en mode de tourisme moderne, tel que le souligne la boite de rafraichissements dont l’importance des couleurs reflète l’importance dans la formation et sa sélectivité curieuse. Devant les héros s’étale une scène théâtrale dont le premier plan se lie au troisième plan par le biais d’un téléphérique traversant les collines et les interdits. Entre temps, apparaissent les silhouettes des habitations qui remplissent le fond de l’Histoire et de la mémoire. Il s’agit donc d’un site touristique dans une formation artistique avant d’être transformée dans l’ère contemporraine tel que le veut Shubbar à travers le shubbarialisme. La scène se déroule donc autour des restes de l’arbre meurtri qui a été abattu pour des raisons de formation, et pour garantir la durabilité du lien avec le cheval dadaique, qui fait équilibre de par sa formation, sa thématique et son concept avec la masse des héros. Cette quiétude passe d’une silhouette vers une phénoménologie. Shubbar annonce alors son empathie avec Dada et son poème Tzara – aujourd’hui Dada vieillit, aujourd’hui Dada est fatiguée.


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