Lecture du tableau numéro 36

Lecture du tableau numéro 36

LE MANDAL
La formation est belle et l’artiste y emploie un mécanisme de mouvement pour le manège à chevaux issu d’une zone de non-dit dans l’art plastique malgré sa prévalence. Le cadre de la scène est fixé de sorte que le récepteur est impliqué dans l’achèvement de l’image d’un angle qui est en face du tableau.
Antara se tient du côté d’en face et déplace son regard sélectif vers les chevaux qui constituent avec la personnalité historique d’Antara un duo incluant mais divergeant. Ce duo ne regroupe que des exceptions dans l’art, notamment le Shubbarialisme.

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